A l’heure où toute personne soucieuse de la situation de la communauté est critiquée, taxée d’innovateur et mise en doute sur son attachement à la tradition prophétique (Sounnah). Nous avons trouvé bon de transmettre un sujet important concernant le fait de se mélanger aux innovateurs lors des besoins de la communauté.
Nous ne visons pas ici un groupe en particulier. Mais la division des musulmans est telle que nous n’avons que des critiqués pour nous représenter. Les gens de la Sounnah se disputant le titre, cet article ne vise pas seulement les véritables innovateurs mais aussi les accusés et ceux sur qui règne le doute.
L’imam Ibn Mouflih, qu’Allah lui fasse miséricorde, rapporte d’Ibn Hamid : « Il n’est pas obligatoire (de fuir les innovateurs) à celui qui à besoin de s’y mélanger afin d’apporter un bénéfice aux musulmans. » [Al-Adab Ach-Char’iyah]
Dans son poème sur le comportement l’Imam Mouhammad Ibn AbdelQawy, qu’Allah lui fasse miséricorde, dit :
« Fuir les gens qui appellent à un égarement ou
Une perversité, impose-le, sans avoir de doute
Sauf pour celui qui est capable de contester leurs propos
et de repousser le mal de leur égarement par sa langue
Ou bien pour s’occuper des besoins des gens en s’y rendant…»
L’imam Al-Hajjawy, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit : « Pour conclure la parole des élèves de l’Imam Ahmed et du poète : Celui qui est incapable de réfuter, craint l’égarement ou le préjudice doit fuir. Mais s’il est capable ou qu’il a besoin de se mélanger à eux (les innovateurs) pour le bénéfice des musulmans, et l’aide ou tout autre intérêt semblable la fuite n’est plus obligatoire.» [Fath Al-‘Allam p.137]
C’est exactement la parole de l’Imam As-Saffariny dans “Ghiza Al-Albab » que voici :
Chaykh Salih Ibn Fawzan Al-Fawzan explique : « Il est permis de se mélanger aux innovateurs pour deux raisons :
- pour répondre et réfuter leurs ambiguïtés
- pour les besoins des gens, s’ils ont ce dont les gens ont besoin. Il s’allie avec eux pour les besoins qu’ils peuvent apporter aux gens. Pas par amour, ni pour soutenir le faux qui est en eux, mais pour le droit des gens qu’ils ont en leur possession. Dans cette situation il n’y a pas de fuite. Car la fuite (de l’innovateur) ici est préjudiciable. Donc l’homme qui à la capacité de réfuter ou de prendre d’eux ce que les gens ont besoin (se mélange aux innovateurs car) s’il les fuit, ils prendront le dessus. Le fait qu’il résiste et prenne le droit des gens est un intérêt plus important… » [Ittihaf At-Toullab p.196-197]
Chaykh AbderRazzaq Al-Badr dit : « Le fait de fuir les gens qui appellent à l’innovation ou aux péchés est demandé à tout individu musulman sauf exceptions que nous avons cité : « Sauf pour celui qui est capable de contester leurs propos » Donc si l’homme a la capacité scientifique et religieuse, c’est à dire une religion qui le préserve du péché et une science qui le préserve de l’ambiguïté […]
Et l’autre exception est : « Pour s’occuper des besoins des gens en s’y rendant. » Par exemple : celui qui appelle à une perversité ou une innovation à un statut et les gens sont dans le besoin,que les biens soient en sa possession ou qu’il faille passer par lui pour les acquérir, pour le bien des gens, une partie le côtoie, le fréquente afin de répondre aux besoins des gens et à leurs nécessités… » [Charh Al-Alfiyah cassette n°6]
Nous ne visons pas ici un groupe en particulier. Mais la division des musulmans est telle que nous n’avons que des critiqués pour nous représenter. Les gens de la Sounnah se disputant le titre, cet article ne vise pas seulement les véritables innovateurs mais aussi les accusés et ceux sur qui règne le doute.
L’imam Ibn Mouflih, qu’Allah lui fasse miséricorde, rapporte d’Ibn Hamid : « Il n’est pas obligatoire (de fuir les innovateurs) à celui qui à besoin de s’y mélanger afin d’apporter un bénéfice aux musulmans. » [Al-Adab Ach-Char’iyah]

Dans son poème sur le comportement l’Imam Mouhammad Ibn AbdelQawy, qu’Allah lui fasse miséricorde, dit :
« Fuir les gens qui appellent à un égarement ou
Une perversité, impose-le, sans avoir de doute
Sauf pour celui qui est capable de contester leurs propos
et de repousser le mal de leur égarement par sa langue
Ou bien pour s’occuper des besoins des gens en s’y rendant…»

L’imam Al-Hajjawy, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit : « Pour conclure la parole des élèves de l’Imam Ahmed et du poète : Celui qui est incapable de réfuter, craint l’égarement ou le préjudice doit fuir. Mais s’il est capable ou qu’il a besoin de se mélanger à eux (les innovateurs) pour le bénéfice des musulmans, et l’aide ou tout autre intérêt semblable la fuite n’est plus obligatoire.» [Fath Al-‘Allam p.137]
C’est exactement la parole de l’Imam As-Saffariny dans “Ghiza Al-Albab » que voici :

Chaykh Salih Ibn Fawzan Al-Fawzan explique : « Il est permis de se mélanger aux innovateurs pour deux raisons :
- pour répondre et réfuter leurs ambiguïtés
- pour les besoins des gens, s’ils ont ce dont les gens ont besoin. Il s’allie avec eux pour les besoins qu’ils peuvent apporter aux gens. Pas par amour, ni pour soutenir le faux qui est en eux, mais pour le droit des gens qu’ils ont en leur possession. Dans cette situation il n’y a pas de fuite. Car la fuite (de l’innovateur) ici est préjudiciable. Donc l’homme qui à la capacité de réfuter ou de prendre d’eux ce que les gens ont besoin (se mélange aux innovateurs car) s’il les fuit, ils prendront le dessus. Le fait qu’il résiste et prenne le droit des gens est un intérêt plus important… » [Ittihaf At-Toullab p.196-197]
Chaykh AbderRazzaq Al-Badr dit : « Le fait de fuir les gens qui appellent à l’innovation ou aux péchés est demandé à tout individu musulman sauf exceptions que nous avons cité : « Sauf pour celui qui est capable de contester leurs propos » Donc si l’homme a la capacité scientifique et religieuse, c’est à dire une religion qui le préserve du péché et une science qui le préserve de l’ambiguïté […]
Et l’autre exception est : « Pour s’occuper des besoins des gens en s’y rendant. » Par exemple : celui qui appelle à une perversité ou une innovation à un statut et les gens sont dans le besoin,que les biens soient en sa possession ou qu’il faille passer par lui pour les acquérir, pour le bien des gens, une partie le côtoie, le fréquente afin de répondre aux besoins des gens et à leurs nécessités… » [Charh Al-Alfiyah cassette n°6]
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