Pas de menstrues avant neuf ans, après cinquante ans et pendant la grossesse. Toutes les écoulement de sang avant neuf ans, après cinquante ans et pendant la grossesse ne seront pas considéré en tant que sang des menstrues (à l’exception deux ou trois jours avant l’accouchement si la femme ressent ses douleurs habituelles propres aux menstrues).
Il convient donc de suivre lors de ces écoulements (avant neuf ans, après cinquante ans et pendant la grossesse) les règles concernant la métrorragie (qui suivront dans ce texte.)
Les plus courtes menstrues sont d’un jours et d’une nuit et les plus longues sont de quinze jours et quinze nuits. La femme ayant des écoulement de plus de quinze jours et quinze nuits les considérera comme de la métrorragie.
La période de pureté (sans menstrues) la plus courtes entre deux périodes est de treize jours et il n’y a pas de limite pour la plus longue.
La femme ayant ses menstrues ou des saignements rattrape le jeune pas la prière. Les rapports sexuels dans l’orifice vaginal sont interdit pendant cette période. Il est possible de profité de sa femme en dehors de cela, par le baiser, les caresses, et les rapports sans pénétration. Le jeune n’est valable qu’a partir de la toilette rituelle faite lors d’arrêt de l’écoulement de sang.
Lors de ses premières règles la femme cesse de prier et de jeuner, puis elle se purifie lors de l’interruption. Sa période de menstrues sera déterminé en fonction de la répétition à trois reprises de cette période et si des jours ne concordent pas à la période elle rattrapera son jeune obligatoire et ses prières par précaution.
Si des lors de ses premières règles, la femme dépasse la durée la plus longue, elle considérera le sans qui suit cette période comme un sang de métrorragie. Si elle discerne pendant cette période le sang de ses menstrues et celui de la métrorragie et que le sang de ses menstrues ne dépasse pas la plus longue durée possible et ne dure pas la plus courte, elle considérera le sang des menstrues (plus foncé, odorant ou plus épais) comme ses menstrues et le reste comme métrorragie. Si elle ne dicerne pas entre les deux, elle cessera ce que les menstrues lui imposent de cesser.
La femme subissant la métrorragie et connaissant ses périodes de menstrues, cesse ce que les menstrues lui imposent de cesser pendant sa période. Si elle oublie sa période, elle agit en fonction du discernement. Si elle ne sait pas discerner, elle prend en considération la plus longue période de menstrues. Si sans discerner elle connait la longueur de sa période (et qu’elle ne dépasse pas la plus longue période possible) sans savoir si cette période commence au début du mois, à son milieu ou à sa fin, elle cesse ce que les menstrues lui imposent de cesser des le début du mois.
Celle qui à une période connue et que celle-ci augmente ou que ses menstrues apparaissent plus tôt que prévu ou qu’elles durent plus longtemps que prévu. Elle ne considère pas les menstrues pendant ces périodes jusqu'à ce qu’elles se répètent trois fois. Si ceci arrive pendant la période de jeune obligatoire, elle rattrapera ce qu’elle à jeuné étant donné que ce jeune n’était pas valide mais qu’on ne pouvait le savoir avant d’être sûr.
Si la période de menstrues est inhabituellement plus courte, elle cesse tout de même ce que les menstrues lui imposent de cesser.
Il convient donc de suivre lors de ces écoulements (avant neuf ans, après cinquante ans et pendant la grossesse) les règles concernant la métrorragie (qui suivront dans ce texte.)
Les plus courtes menstrues sont d’un jours et d’une nuit et les plus longues sont de quinze jours et quinze nuits. La femme ayant des écoulement de plus de quinze jours et quinze nuits les considérera comme de la métrorragie.
La période de pureté (sans menstrues) la plus courtes entre deux périodes est de treize jours et il n’y a pas de limite pour la plus longue.
La femme ayant ses menstrues ou des saignements rattrape le jeune pas la prière. Les rapports sexuels dans l’orifice vaginal sont interdit pendant cette période. Il est possible de profité de sa femme en dehors de cela, par le baiser, les caresses, et les rapports sans pénétration. Le jeune n’est valable qu’a partir de la toilette rituelle faite lors d’arrêt de l’écoulement de sang.
Lors de ses premières règles la femme cesse de prier et de jeuner, puis elle se purifie lors de l’interruption. Sa période de menstrues sera déterminé en fonction de la répétition à trois reprises de cette période et si des jours ne concordent pas à la période elle rattrapera son jeune obligatoire et ses prières par précaution.
Si des lors de ses premières règles, la femme dépasse la durée la plus longue, elle considérera le sans qui suit cette période comme un sang de métrorragie. Si elle discerne pendant cette période le sang de ses menstrues et celui de la métrorragie et que le sang de ses menstrues ne dépasse pas la plus longue durée possible et ne dure pas la plus courte, elle considérera le sang des menstrues (plus foncé, odorant ou plus épais) comme ses menstrues et le reste comme métrorragie. Si elle ne dicerne pas entre les deux, elle cessera ce que les menstrues lui imposent de cesser.
La femme subissant la métrorragie et connaissant ses périodes de menstrues, cesse ce que les menstrues lui imposent de cesser pendant sa période. Si elle oublie sa période, elle agit en fonction du discernement. Si elle ne sait pas discerner, elle prend en considération la plus longue période de menstrues. Si sans discerner elle connait la longueur de sa période (et qu’elle ne dépasse pas la plus longue période possible) sans savoir si cette période commence au début du mois, à son milieu ou à sa fin, elle cesse ce que les menstrues lui imposent de cesser des le début du mois.
Celle qui à une période connue et que celle-ci augmente ou que ses menstrues apparaissent plus tôt que prévu ou qu’elles durent plus longtemps que prévu. Elle ne considère pas les menstrues pendant ces périodes jusqu'à ce qu’elles se répètent trois fois. Si ceci arrive pendant la période de jeune obligatoire, elle rattrapera ce qu’elle à jeuné étant donné que ce jeune n’était pas valide mais qu’on ne pouvait le savoir avant d’être sûr.
Si la période de menstrues est inhabituellement plus courte, elle cesse tout de même ce que les menstrues lui imposent de cesser.
A suivre...
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