Selon Abou Ayyoub, qu’Allah l’agrée, le Messager d’Allah, صلى الله عليه و سلم, a dit : « Lorsque l’un de vous va faire ses besoins qu’il ne se dirige pas vers la Qibla (direction pour la prière) et qu’il ne lui tourne pas le dos. Mais qu’il se dirige vers l’est ou l’ouest. » Rapporté par Al-Boukhary
Ce récit prophétique est utilisé pour interdire de se diriger et de tourner le dos à la « Qibla » lors de nos besoins naturels. L’est et l’ouest est spécifique aux gens qui n’ont pas la “Qibla” en face ou dans le dos lorsqu’il se dirige vers l’est ou l’ouest comme les gens de la ville de Medine.
Notre école (Le Hanbalisme) n’interdit cela que dans les lieux désertiques. Nos érudits reposent leur argumentation sur les textes suivants.
Jabir, qu’Allah l’agréé dit : le Messager d’Allah, صلى الله عليه و سلم, nous avait interdit de diriger nos parties intimes pendant nos besoins naturels, en tournant le dos ou en faisant face à la « Qibla ». Mais je l’ai vu un an avant sa mort, uriner face à la « Qibla » . Rapporté Par Abou Dawoud, qualifié de bon par At-Tirmizy et An-Nawawy.
Ibn ‘Omar, qu’Allah l’agréé, rapporte qu’il a rendu visite à sa sœur Hafsa, et qu’il a aperçu le Prophète, صلى الله عليه و سلم, assis pour ses besoins en direction du « Cham », il tournait le dos à la « Qibla » Rapporté par Al-Boukhary et Mouslim
Pour ces deux textes nous disons que le Messager d’Allah, صلى الله عليه و سلم, a été surpris lors de ses besoins, il ne convient pas qu’il fasse ses besoins à la vu des gens. Voir sur le sujet le premier récit prophétique rapporté par Abou Dawoud.
Marwan Ibn Asfar rapporte qu’il a vu AbdAllah Ibn Omar interposer sa monture entre lui et la « Qibla » pour faire ses besoins. Il lui dit alors : « Ô père d’AbderRahmen n’avons-nous pas été interdit de faire cela ? » Il répondit : « Mais non, nous avons été interdit dans les vallées désertiques. Mais lorsque une chose s’interpose entre toi et la « Qibla », alors il n’y a aucun mal. » Rapporté par Abou Dawoud.
L’argument suivant : « Si les actes du Prophètes contredisent ses paroles, alors on fait prévaloir les paroles dans l’argumentation. » n’est pas juste car le jour du pacte d’Al-Houdaybiyah (voir dans les livres sur l’histoire du prophète.) le Messager d’Allah, صلى الله عليه و سلم, avait ordonné d’égorger les bêtes afin de mettre fin à leur pèlerinage et personne ne l’écouta, puis il le fit et les compagnons le suivirent. Ils ont donc suivi l’acte et pas la parole.
Chaykh Sa’d Ibn Nasir Ach-Chathry dans son explication de « ‘Oumda Al-Ahkam » dit : « Il n’est pas convenable de dire « Les récits prophétiques que vous rapportez sont des actes et le premier cité (Celui tout en haut de l’article) est une parole et la parole prédomine sur l’acte. Car s’il est possible de lier entre les deux, il faut le faire. Il ne convient donc pas de faire ce genre de préférence entre les paroles et les actes. »
Il n’est donc pas blâmable selon nous de faire ses besoins dans ces directions dans nos demeures si les toilettes y sont construits dans les directions interdites. Car l’interdiction est limitée au fait de le faire dans les lieux désertiques.
Ce récit prophétique est utilisé pour interdire de se diriger et de tourner le dos à la « Qibla » lors de nos besoins naturels. L’est et l’ouest est spécifique aux gens qui n’ont pas la “Qibla” en face ou dans le dos lorsqu’il se dirige vers l’est ou l’ouest comme les gens de la ville de Medine.
Notre école (Le Hanbalisme) n’interdit cela que dans les lieux désertiques. Nos érudits reposent leur argumentation sur les textes suivants.
Jabir, qu’Allah l’agréé dit : le Messager d’Allah, صلى الله عليه و سلم, nous avait interdit de diriger nos parties intimes pendant nos besoins naturels, en tournant le dos ou en faisant face à la « Qibla ». Mais je l’ai vu un an avant sa mort, uriner face à la « Qibla » . Rapporté Par Abou Dawoud, qualifié de bon par At-Tirmizy et An-Nawawy.
Ibn ‘Omar, qu’Allah l’agréé, rapporte qu’il a rendu visite à sa sœur Hafsa, et qu’il a aperçu le Prophète, صلى الله عليه و سلم, assis pour ses besoins en direction du « Cham », il tournait le dos à la « Qibla » Rapporté par Al-Boukhary et Mouslim
Pour ces deux textes nous disons que le Messager d’Allah, صلى الله عليه و سلم, a été surpris lors de ses besoins, il ne convient pas qu’il fasse ses besoins à la vu des gens. Voir sur le sujet le premier récit prophétique rapporté par Abou Dawoud.
Marwan Ibn Asfar rapporte qu’il a vu AbdAllah Ibn Omar interposer sa monture entre lui et la « Qibla » pour faire ses besoins. Il lui dit alors : « Ô père d’AbderRahmen n’avons-nous pas été interdit de faire cela ? » Il répondit : « Mais non, nous avons été interdit dans les vallées désertiques. Mais lorsque une chose s’interpose entre toi et la « Qibla », alors il n’y a aucun mal. » Rapporté par Abou Dawoud.
L’argument suivant : « Si les actes du Prophètes contredisent ses paroles, alors on fait prévaloir les paroles dans l’argumentation. » n’est pas juste car le jour du pacte d’Al-Houdaybiyah (voir dans les livres sur l’histoire du prophète.) le Messager d’Allah, صلى الله عليه و سلم, avait ordonné d’égorger les bêtes afin de mettre fin à leur pèlerinage et personne ne l’écouta, puis il le fit et les compagnons le suivirent. Ils ont donc suivi l’acte et pas la parole.
Chaykh Sa’d Ibn Nasir Ach-Chathry dans son explication de « ‘Oumda Al-Ahkam » dit : « Il n’est pas convenable de dire « Les récits prophétiques que vous rapportez sont des actes et le premier cité (Celui tout en haut de l’article) est une parole et la parole prédomine sur l’acte. Car s’il est possible de lier entre les deux, il faut le faire. Il ne convient donc pas de faire ce genre de préférence entre les paroles et les actes. »
Il n’est donc pas blâmable selon nous de faire ses besoins dans ces directions dans nos demeures si les toilettes y sont construits dans les directions interdites. Car l’interdiction est limitée au fait de le faire dans les lieux désertiques.
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